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The Devil is leaving his cave

Wendy Ewald

Mack Books

Date de parution : 01/01/2022
Poids 482 g / Dimensions 20 x 24.5 cm / 124 pages
ISBN 9781913620554

En 1990, un an avant la révolte armée des zapatistes, Wendy Ewald a été invitée à donner des cours de photographie à des enfants mayas, ladinos et tzotzils vivant au Chiapas, la province la plus au sud du Mexique. L’organisation responsable était la coopérative d’écrivains mayas, Sna Jtz-ibajom (la maison des écrivains).

Si les appareils photo et les caméscopes ne sont pas des nouveautés au Chiapas, ils sont généralement utilisés par des touristes dont les prises de vue renforcent leurs propres préjugés culturels. Ewald n’a pas pris de photos ; elle a plutôt guidé ses élèves pour qu’ils prennent eux-mêmes des photos de leur vie quotidienne, de leurs rêves, de leurs désirs et de leurs fantasmes. Ces mémoires résonnaient avec l’importance accordée aux rêves dans la culture maya, qui les considère comme aussi réels que la vie éveillée.

Le projet qui en a résulté, The Devil is leaving his Cave, est un aperçu unique des réalités quotidiennes de la vie dans les communautés mayas juste avant les ravages du soulèvement zapatiste. Ce livre réunit le projet original d’Ewald et un nouveau travail réalisé en collaboration avec quinze jeunes Américains d’origine mexicaine vivant à Chicago, coordonné avec l’aide du Centro Romero, une organisation d’aide aux immigrants. Ces images traitent en grande partie des mêmes sujets que celles réalisées par les étudiants d’Ewald dans les années 1990, l’accent étant désormais mis sur la capture des vies intérieures et des rêves comme moyen de faire face aux expériences non exprimées de l’immigration.

Les thèmes de la restriction et de l’autoréflexion qui ont émergé de ce nouveau travail ont été intensifiés par le fait qu’il a été réalisé en partie sous le contrôle du COVID. Ensemble, les projets du Chiapas et de Chicago retracent les différences entre le fait de grandir dans différentes géographies mexicaines aux histoires diverses, tout en s’accrochant aux joies et aux peines universelles de l’enfance.

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