Les recherches de Hugo Vitrani se concentrent principalement sur les mauvaises herbes de l’histoire de l’art, notamment celles issues des écritures parasites qui surgissent dans les marges des territoires, des lois et des institutions. Curateur au Palais de Tokyo, il a signé de nombreuses expositions monographiques dont Mohamed Bourouissa (2024), Rakajoo (2023), Jay Ramier (2021), Maxwell Alexandre (2021) ; et des expositions collectives dont La morsure des termites (2023-2024), Foudre sentimentale (2022), Jusqu’ici tout va bien (2020), Prince.sses des Villes (2019). Il a également été co-commissaire de la 15e édition de la Biennale de Lyon, Là où les eaux se mêlent (2019).